• message envoyé sur le blog de M. Nicolas Dupont AIGNAN, en tant que commentaire rédigé à partir d'un article sur la Turquie.
    J'ai eu beau vérifier, ce message n'a pas été affiché sur  ce blog de NDA.
    Je le présente tout de même aujourd'hui en entier sur mon blog.
    ThZ Toulon, le 14.09.2007
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     http://nda32.blog.20minutes.fr/ le jeudi 30 août 2007
    http://nda32.blog.20minutes.fr/archive/2007/08/30/adh%C3%A9sion-de-la-turquie-le-reniement.html

    Bonjour,

    Monsieur Nicolas Dupont-Aignan


    S’inquiéter de la question de l'adhésion ou non de la Turquie à l'Union européenne a son importance.
    Le maintien de l’ex projet de Constitution de l’Union européenne rebaptisé « traité simplifié » est un fait bien plus grave, puisque ledit projet instaurait une dictature officielle en lieu et place de la dictature officieuse actuelle.

    Concernant la qualité avérée de menteur pathologique et/ou professionnel du président de la République, sur mon http://thz.oldiblog.com le 11.07.2007 j’ai rédigé quelques lignes que voici.

    Le Président Jacques CHIRAC a un temps été qualifié de super menteur.

    En fait ce n’est qu’un dilettante « «un petit joueur » par rapport à ceux qui au cœur des institutions de l’Etat, des milieux politiques, économiques et médiatiques ont réussi le coup, de placer un texte consacrant la dictature en situation de recevoir « l’onction démocratique » lui permettant d’abolir la démocratie au nom de la démocratie.

    Le Président Nicolas SARKOSY a réussi la performance d’être élu avec un nom public différent de son état civil, Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa (Sárközy de Nagybocsa)
    http://www.reveil-des-marmottes.net/Site_Noute/Dossier_actus/1073_Sarkozy_de_Nagy-Bocsa.htm

    Aussi sur un plan personnel M. le Président SARKOSY a déjà fait bien plus que concurrencer son prédécesseur, il l’a pulvérisé.

    Une mise au point serait bienvenue sur les moyens de droit qui permettent de déroger au droit pour une élection présidentielle , sinon que penser de ce que sera le mandat présidentiel des années SARKOSY, l’empressement à faire passer en force le « traité simplifié » est-il révélateur d’incompétence abyssale en matière juridique, ou d’une hâte à instaurer la dictature européenne…

    Que quiconque, premier venu, essaie de finaliser des formalités administratives et déclarations de toutes sortes sans s’en tenir à son état civil, jusqu’à preuve du contraire pour un quidam quelconque c’est infaisable.

    A moins peut-être de disposer de vrai-faux documents d’identité. …

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    Par ailleurs rédigé en plusieurs fois :

    A partir de mes analyses et réflexions, dont la majeure partie est reprise sur mon blog http://thz.oldiblog.com, nous sommes en situation de COUP D'ETAT PERMANENT.

    La Constitution RF Article 55, prévoit la supériorité des traités internationaux sur la loi nationale.

    Tous les magistrats doivent accepter la mention de la CESDH, d'où le droit français est dit "MONISTE".

    La magistrature, à commencer par le Conseil d'Etat et la Cour de Cassation, fonctionne à l'opposé :
    Puisque les traités internationaux ne sont pas transcrit dans les codes nationaux, nous n'avons pas à prendre en compte ces traités, c'est agir selon un droit  "DUALISTE".

    Que Conseil d'Etat, Cour de Cassation, Gouvernements successifs et Conseil Constitutionnel soient indifférents à cet état de fait, peut et doit recevoir la qualification de "COUP D'ETAT PERMANENT".

    La notion de dysfonctionnements des institutions de la République française que j'avais adoptée en 2003, suite à observation d'"anomalies" s'est avéré non conforme à la qualification juridique des faits.

    Cette situation de COUP D'ETAT PERMANENT est "couverte" par la Cour européenne des droits de l'homme.

    Le fait de l'adhésion à cette institution est dans la pratique utilisée, par les responsables juridiques et politiques, comme argument pour dire à peu près ceci :

    - Si vraiment  le fonctionnement de nos institutions était aussi mauvais, la Cour, voire même les Cours de Justice européennes n'auraient pas manqué de le faire savoir. Puisque à quelques cas occasionnels près les juridictions européennes sont silencieuses, c'est que tout ne va pas si mal que ça.

    C’est dans la mesure où selon mes analyses les Cours européennes, celle des droits de l’homme et celle des communautés européennes, laissent se poursuivre un coup d’Etat au niveau européen, que ce qui au début m’a semblé une monstruosité sans nom, s’est finalement imposé à moi pour ce qui est un COUP D’ETAT PERMANENT, avec pour conséquence une dictature officieuse effective.

    Au bout de quelques décennies, il est aujourd’hui question de passer une étape décisive, de dictature officieuse, il s’agit d’aboutir à une dictature officielle. A cette étape de ma rédaction je fais part d’un écrit précédent :

    Message du 25.07.2007 laissé sur blog journal Marianne,
    40. Posté par Thierry ZUBANOVIC le 25/07/2007 18:41
    Toulon le 25.07.2007

    Bonjour,

    Concernant :
    http://www.marianne2007.info/Le-Traite-simplifie-vu-par-_a1618.html
    Suite à : 33. Posté par Thierry ZUBANOVIC le 27/06/2007 00:36
    et réponse de :
    38. Posté par albert feude le 06/07/2007 11:52
    (@ thierry Zubanovic (post 33))

    « Le conseil constitutionnel n'a fait en réalité que reconnaître une règle appliquée depuis très longtemps, à savoir que le droit international résultant des traités acceptés librement ( droit contractuel) est supérieur et s'impose au droit strictement national. Il existe donc une hiérarchie des normes, admise comme un principe général. Autrement dit, c'est au droit national de s'accorder au droit international et non l'inverse. La construction européenne résultant de traités librement acceptés par les co-contractants, le droit émanent de cette construction supra nationale s'impose au droit national. »


    Vos propres éléments de démonstration ne remettent pas en cause mon analyse et confirment en fait très exactement mon propos : Le Conseil constitutionnel de la République française a bien laissé la France s'engager dans des traités internationaux contractuels non conforme à la Constitution française, notamment avec l'article 39 « l'initiative de la loi appartient concurremment au premier ministre et aux membres du parlement. ».

    Le domaine de compétence de l'Union européenne du TCE ou du « traité simplifié » est extensif sans restriction. Pas un élu national ou européen n'aurait plus l'initiative de la loi. La notion de « concurremment » de l'article 39 de la Constitution RF est totalement éliminée même pas transposée au niveau européen.

    La supériorité du droit international sur le droit national ne vaut que si les traités internationaux concernés sont eux-mêmes respectueux de critères démocratiques minimum, cela vaut encore plus s'il est question de contribuer à engendrer un nouvel ordre mondial, puisque l'un des objectifs est de former une future super puissance mondiale.

    Dans mes analyses je ne conteste pas la supériorité du droit international, cependant la source du droit au sein de l'union européenne du TCE ou du «traité international » pose problème.

    Le droit international considéré comme droit contractuel concerne des états pleinement souverains et autonomes, ce que ne seraient plus les états liés par le traité TCE ou le « traité simplifié » accordant la personnalité juridique à l'Union européenne.

    Il est question d'organiser le passage d'un « droit contractuel » inter-étatique à un « droit institutionnel » pour ne pas dire « droit constitutionnel » intra-européen. Par définition au plan formel le droit international ou contractuel outrepasse ses compétences en tentant cela.

    En Europe et encore moins en France aucun dirigeant n'a reçu mandat pour négocier en abandonnant ce qui est inaliénable au plan des principes pour le droit national principes qui en plus sont communs à l'ensemble des pays européens.

    En matière juridique, certains droits reçoivent le qualificatif « d'inaliénables », ce que je reproche aux tractations en cours c'est qu'elles abrogent contractuellement ce qui au niveau national appartient au domaine du droit inaliénable. En terme de « droit contractuel » toute clause tendant à annuler un droit inaliénable est réputé nul et non avenu, autant commencer par ne pas les inscrire. ...

    La nouveauté de la personnalité juridique de l'Europe doit en même temps être accompagnée de l'initiative de la loi revenant aux membres du Parlement européen avec la coordination ad hoc avec les membres des Parlements nationaux.

    Comme je l'avais déjà écrit le projet TCE retirait définitivement l'initiative de la loi aux membres des Parlements nationaux sans pour autant et au minimum transférer cette compétence aux membres du Parlement européen. L'initiative des lois serait entièrement et exclusivement celui de la commission européenne qui a et conserverait la qualité d'un pouvoir exécutif et non pas législatif. Jusqu'à preuve du contraire le traité simplifié fait à l'identique.

    Comment définir autrement que par dictature une Union européenne dotée de la personnalité juridique et réservant l'initiative de la loi à un groupe restreint à l'extrême de personnes toutes nommées et de plus en charge de fonctions exécutives directes ou indirectes.

    Ce n'est pas parce que les institutions nationales et européennes ont été défaillantes par le passé et même très récemment qu'il faut entériner et laisser finaliser des textes dictatoriaux.


    Pourtant, prenez la peine à ce que les membres de la commission européenne soient obligatoirement issus des élus en exercice du Parlement européens, alors lui attribuer l'initiative de la loi sans l'exclusivité, commence à devenir acceptable parce que démocratique. Est-ce que rédiger le futur traité européen en s'assurant de son caractère démocratique est si difficile que çà, qu'est-ce qui conduit la majeure partie des responsables politiques à aller dans la direction opposée, qui est celle de la dictature.


    Par ailleurs

    http://www.gaucherepublicaine.org/,article,1532,,,,,_Le-projet-de-Constitution-europeenne-revient-par-la-fenetre.htm
    Extrait d'article :
    « Le projet de Constitution européenne revient par la fenêtre
    Par Jean-Jacques Chavigné
    Jeudi 28 juin 2007 »
    « Sarkozy refuse donc tout recours au référendum et veut imposer l'adoption du nouveau traité par le Parlement français (Assemblée nationale et Sénat) réuni en Congrès. »

    http://www.lefigaro.fr/elections-legislatives-2007/20070719.FIG000000166_institutions_sarkozy_veut_aller_vite_et_loin.html
    Extrait d'article :
    « Institutions : Sarkozy veut aller vite et "loin"
    PHILIPPE GOULLIAUD.
    Publié le 19 juillet 2007 »
    « Reste que le vaste chantier de la réforme des institutions passe par une révision de la Constitution. Et qu'à défaut d'un référendum, une majorité des trois cinquièmes du Parlement réuni en Congrès à Versailles est nécessaire pour son adoption. »


    Le terme de Constitution a été soit disant éliminé du projet de l'ex-TCE, pourtant voter le « traité simplifié » par le Parlement en Congrès, c'est par définition conférer au futur « traité simplifié »le statut de Constitution de statut supérieur ou égal à la constitution française.

    A priori le seul mode de vote autre que le référendum qui conviendrait pour voter TCE ou le « traité simplifié » est le vote classique Assemblée Nationale et Sénat avec navette entre les deux si nécessaire, avec surtout un quorum des deux tiers plus une voix. Ce type de vote exprimerait bien la supériorité du droit international constitutionnel sur le droit national « ordinaire », tout en préservant la supériorité de la Constitution française sur le TCE le « traité simplifié », au moins ce serait sans ambiguïté.

    En écrivant cela, pour moi, rien de nouveau, je l'ai déjà écrit par le passé en plus concis. Chaque fois qu'il s'avère qu'une proposition n'a manifestement pas été saisie par un lecteur je suis obligé de revenir dessus et de développer, à la longue il y aura matière à composer un ouvrage complet.


    Meilleures considérations,
    Thierry ZUBANOVIC
    Toulon, le 25.07.2007

    http://thz.oldiblog.com/


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  •  Black Out !

    Le sujet du projet de Constitution de l’Union européenne version 29 mai 2005 ou Traité de Constitution européenne est soumis à un « Black Out » en France et en Europe, à croire que sont statut est devenu semblable à celui des OVNI (Objets Volants Non Identifiés) ou UFO (Unidentified Flying Object).

    La politique des media est jusqu’à présent parallèle vis à vis de ces deux sujets : ne pas voir, ne pas entendre, et ne pas en parler.

    Je reconnais d’ailleurs que OVNI colle parfaitement au projet, car après vérification le V pour Volant va ici très bien avec Voleur. Ce projet est un vol de la démocratie, et non identifié Traité ou Constitution selon les cas, donc ni l’un ni l’autre.

    Nul ne peut dénier un caractère innovant au projet, cependant la notion qui convient est plutôt de « faire du neuf avec du vieux », si ce n’est que le vrai « neuf » du projet est en fait le « vieux » de la dictature.

    Evidemment vu ainsi mettre en place une dictature en lieu et place d’une démocratie quasi absente est innovant.


    Le Président Jacques CHIRAC a un temps été qualifié de super menteur.

    En fait ce n’est qu’un dilettante « «un petit joueur » par rapport à ceux qui au cœur des institutions de l’Etat, des milieux politiques, économiques et médiatiques ont réussi le coup, de placer un texte consacrant la dictature en situation de recevoir « l’onction démocratique » lui permettant d’abolir la démocratie au nom de la démocratie.

    Le Président Nicolas SARKOSY a réussi la performance d’être élu avec un nom public différent de son état civil, Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa (Sárközy de Nagybocsa)
    http://www.reveil-des-marmottes.net/Site_Noute/Dossier_actus/1073_Sarkozy_de_Nagy-Bocsa.htm

    Aussi sur un plan personnel M. le Président SARKOSY a déjà fait bien plus que concurrencer son prédécesseur, il l’a pulvérisé.

    Une mise au point serait bienvenue sur les moyens de droit qui permettent de déroger au droit pour une élection présidentielle , sinon que penser de ce que sera le mandat présidentiel des années SARKOSY, l’empressement à faire passer en force le « traité simplifié » est-il révélateur d’incompétence abyssale en matière juridique, ou d’une hâte à instaurer la dictature européenne…

    Que quiconque, premier venu, essaie de finaliser des formalités administratives et déclarations de toutes sortes sans s’en tenir à son état civil, jusqu’à preuve du contraire pour un quidam quelconque, c’est infaisable.

    A moins peut-être de disposer de vrai-faux documents d’identité. …



    Thierry ZUBANOVIC
    Toulon, le 11.07.2007


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  • Candidat à l’élection présidentielle !

    Bonjour,

    Faut-il absolument être candidat à l’élection présidentielle pour que communiquer vers ses concitoyens soit considéré comme raisonnable, et trouve un tant soit peu d’échos dans les mass media.

    De toute évidence, ça ne suffit pas. Seuls quelques candidats trouvent leur propos à peu près correctement reproduits et diffusés par les instances contrôlant les moyens de communication catégorie « mass media ».

    Le Web Internet permettent pour l’instant une communication fonctionnelle minimum. Cependant aux dernières nouvelles (1°semestre 2007), des dispositions sont en cours visant à faire envahir cet espace de communication et de le saturer d’informations creuses ou sous contrôle politique d’un « politiquement correct standard ».

    L’objectif inavoué semble être de rendre toute autre source d’information le plus marginal possible au plan quantitatif sur internet, ce qui permettrait ensuite d’entreprendre aussi discrètement que possible la réduction des sources d’informations « non formatées », que ce soit par absorption ou par élimination.

    Cette appréciation est-elle une pure spéculation, ou est-elle raisonnable et fatale ?

    La réponse dépendra des actions menées par ceux qui tiennent à leur libre appréciation de l’information qu’ils peuvent diffuser et de celle qu’ils peuvent recevoir.

    Réflexions complémentaires

    Courant 2006, une correspondante m’a suggéré de m’engager dans la démarche de candidature aux élections présidentielles, ceci compte tenu de mon constat étayé de Tentative de Coup d’Etat en cours, qui est toujours en cours « traité simplifié » à l’appui.

    Etant alors et depuis dans une situation personnelle très complexe, je peux difficilement me projeter dans la peau d’un candidat aux élections présidentielle. Toutefois rien ne rend obligatoire que dans cinq ans je sois toujours être confronté à des situations quasi sans issues.

    J’observe une évolution dictatoriale de plus en plus marquée comme le prouve la seule existence du projet de « traité simplifié » reprise quasi intégrale sur le fond du Traité pour une Constitution Européenne.

    Je signale qu’en cas de persistance dans cette direction par les politiciens professionnels que ce soit par laisser faire ou par contribution active personnelle, je n’exclue pas de supporter tout candidat qui sera capable de défendre une argumentation cohérente comme je pourrais le faire moi-même, même mieux si possible, ou par défaut seulement d’être candidat aux élections présidentielles, ce qui à ce jour est totalement irréaliste.

    Le suivi que j’ai fait de l’argumentation des candidats à la dernière campagne électorale présidentielle m’a clairement indiqué que la simple ambition de se présenter ne suffit pas, il faut être soutenu, bénéficier du « parrainage » d’au moins cinq cent élus en France, et disposer de l’accès au mass media. De plus au final, être bien perçu par ses concitoyens est aussi une condition nécessaire, pour qu’au moins le contenu des propositions soit au moins écouté par les électeurs en puissance.

    Je me permet de rappeler que la campagne présidentielle de 2012 est déjà commencée, cette considération implique de contester dès à présent la légitimité du président sortant élu en 2007 au moins compte tenu de son action européenne allant jusqu’à preuve du contraire à l’opposé du vote NON au référendum du 29 mai 2005.

    Meilleures considérations,
    Thierry ZUBANOVIC
    Toulon le 07.07.2007



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